Confiance en soi et pouvoir d’attraction

Comment développer la confiance en soi, son pouvoir d’attraction, et attirer comme un aimant ? Cette question, nous souhaitons tous y répondre.

Reddingue vous dévoile des stratégies gagnantes, à ne pas mettre dans les mains de vos concurrents ! 

 

Avant la confiance en soi, la difficulté de se définir

Maîtriser et ne plus subir, c’est pouvoir justement de ne pas tout maîtriser ; et c’est également savoir se définir, pour mieux se réaliser.

Or il est parfois très difficile de « se connaître soi-même ». Ainsi, si vous rencontriez une personne et que vous lui demandiez «qui êtes-vous ?», que pourrait-elle vous répondre à votre avis ? Et vous, si on vous posait la question, comment répondriez-vous ?

Est-ce que vous répondriez en donnant votre nom : « je m’appelle …» ? Mais vous auriez pu avoir un autre prénom donné à votre naissance. Auriez-vous été un autre pour autant ? Vous pourriez vouloir vous définir par votre profession : « Je suis chef d’entreprise », ou « Je suis comptable, employé de société, … » ; par une qualité ou un défaut : « Je suis exigeant », « Je ne sais pas dire non », ou « Je suis laxiste »… Mais peut-être que votre voisin a exactement la même profession, les mêmes qualités/défauts que vous, tout en étant une autre personne…

Même vos gènes ne vous définissent pas : si vous aviez un frère jumeau ou une sœur jumelle, il/elle aurait exactement le même patrimoine génétique que vous, tout en étant unique. Alors : qui êtes-vous ? Car vous êtes bien plus que votre prénom, votre métier, votre apparence, vos qualités et vos défauts ; même si chaque élément nous façonne indéniablement.

 

Le plus important…

Et moi qui écris en ce moment, qui suis-je ?

Petite parenthèse biographique :

Très tôt, j’ai voulu aider les autres à atteindre leurs objectifs. Il me semblait donc indispensable de réussir à établir un niveau adéquat d’écoute et de communication avec eux. Je voulais tout d’abord être chirurgien ; puis j’ai finalement opté pour un autre chemin, étudié et passé des diplômes en lettres, psychologie, communication et management.

Je travaille aujourd’hui en tant DRH dans des entreprises ; j’établis des stratégies de réussite et de communication ; je coache des gens et je les aide à atteindre leurs buts lorsqu’ils rencontrent des obstacles dans leur vie professionnelle ou personnelle ; j’écris des articles pour partager et faire bénéficier de mes expériences ; et encore bien d’autres choses…

… n’est pas la partie émergée de l’iceberg

Si j’écris cela, ce n’est pas pour parler de moi. C’est pour vous faire comprendre que lorsque les gens s’intéressent à moi et m’interrogent, ils ne voient que ces « réussites » qui ont jalonné mon parcours. Mais est-ce que je suis « seulement ça » ?

Ce qu’ils ne savent pas, c’est que même si je conseille et aide les autres à avancer aujourd’hui, j’ai bien sûr moi aussi douté ; je me suis trompée ; et j’ai souffert. Je suis comme chacun, j’ai également vécu des moments difficiles.

Et c’est là ce qui est vraiment important : paradoxalement, ce sont justement ces douleurs, voire ces échecs ressentis, qui m’ont consolidée et m’ont rendue plus forte. Ce sont eux qui m’ont aidée à savoir ce que je ne voulais plus. A mieux cerner ce que je voulais. A savoir qui je suis. A vaincre des difficultés, à surmonter des obstacles, à acquérir de l’expérience. A en sortir grandie et renforcée.

La célèbre citation de Nietzsche « Ce qui ne me tue pas me rend plus fort » fait ici écho -si on l’envisage dans le domaine de la confiance en soi, car lui s’adressait à une infime catégorie de « vainqueurs », de « sur-humains », pensant que l’adversité affaiblit ou anéantit la majorité des individus-.

La réussite naît de la confiance en soi. C’est donc aussi une question de réactivité et de choix. J’ai choisi mon camp. Et de là, tout a découlé pour moi…

 

L’impact de notre enfance sur le subconscient et la confiance en soi

Lorsque j’étais enfant, j’ai subi des traumatismes. Ces blessures créent souvent des schémas inconscients, qui nous poussent ensuite à agir de telle ou telle façon dans notre quotidien. Du moins si on ne les a pas repérées et «traitées ».

Certains traumas se sont donc répétés bien plus tard, car je n’avais pas encore réussi à analyser tous mes schémas inconscients. Je n’avais pas suffisamment d’expérience, ni de recul sur moi-même. Et, pire encore : je mettais en place involontairement ces schémas négatifs, et je provoquais mes craintes et non mes objectifs.

En vivant ces moments clivants, j’avais à chaque fois le sentiment de me perdre, de perdre une part de mon identité. Je ne me reconnaissais pas toujours, et les autres ne me reconnaissaient pas forcément davantage non plus

Il fallait à tout prix que « j’existe » aux yeux des autres, dans leur regard, pour exister à mes propres yeux. Et cette existence ne passait selon moi que par l’approbation et la « perfection ».

J’ai par exemple connu des périodes où je disais « oui à tout » pour être aimée en toutes circonstances. C’était très difficile à ce moment là pour moi de savoir qui j’étais vraiment. Alors j’ai essayé de me construire une image, et parfois aussi de la déconstruire. Je me suis réfugiée derrière des apparences, des vêtements, du maquillage ; j’ai travaillé sur moi-même ; à force de rencontrer des gens, j’ai involontairement développé mon affabilité et quelques brins de culture… De mes quêtes naissaient de futures forces.

 

J’existe donc je suis ?

Il est difficile pour beaucoup d’entre nous de savoir qui on est. On se (re)cherche souvent. Souvent on évolue au fil des événements, au cours de la vie. Et on se cherche de nouveau. Et moins on sait qui on est, plus on a envie d’exister.

Si on a manqué de valorisation dans son enfance, on peut manquer davantage encore de confiance en soi et on s’accroche à tout ce qui peut nous « renforcer » : des images, des apparences. On peut par exemple essayer d’exister à travers son métier, à travers ses richesses, à travers un rôle ou une popularité.

 

L’apparence comme identité

On peut s’identifier aussi à son apparence physique. Cela arrive fréquemment aux gens dotés d’un physique avantageux, qui ont souvent « misé » là-dessus et ont négligé de développer d’autres parts d’eux-mêmes (comme la culture, la bienveillance et la simplicité par exemple). Ces personnes peuvent donc chercher à exister principalement à travers leur beauté, puisque c’est ce qu’il y a de plus solide pour elles.

Ceci est lié à un sentiment -ou à une reconnaissance du fait- que leur valeur repose sur leur apparence. Si c’est le cas pour vous, vous vous sentez amoindri(e) en présence d’une personne que vous estimez « plus belle que vous », ou si on vante la beauté de quelqu’un d’autre en votre présence. Un peu comme si vous aviez le sentiment que cette personne existe plus que vous. La vérité est que votre valeur va généralement au-delà de votre beauté, mais que vous l’avez négligé et avez affaibli les autres parties de ce que vous êtes.

 

Briller et se sentir plus fort

On peut chercher une reconnaissance aussi via son intelligence, sa culture, ses idées. Et tenter d’exister à travers ses propos. Et dans ces cas là on se sent plutôt amoindri lorsque quelqu’un vous contredit, vous dit quelque chose qui va à l’encontre de vos idées. A ce moment là, vous vous sentez attaqué personnellement alors que la personne a juste exprimé un désaccord de point de vue avec vous. Or, nous avons déjà abordé le thème de la communication, tout échange peut être très constructif si on « discute » et non qu’on se « dispute ». Une seule lettre peut parfois tout changer, et encore faut-il avoir l’envie d’apprendre et l’humilité bienvenue de reconnaître qu’on ne sait pas tout…

On peut aussi s’accrocher à ses possessions, et croire que notre valeur découle de ce que nous avons (argent, richesses, …). A ce moment là on se sent « inférieur » lorsqu’on se retrouve en présence de quelqu’un qui a « plus » que nous. Et on se perd lorsque pour être aimé, on doit constamment offrir, donner, épater et briller. N’est-il pas mille fois meilleur et serein d’être aimé pour ce que l’on est ? De se dire qu’en cas de coup dur, il y aura encore quelqu’un à nos côtés ? Que nous ne bâtissons pas sur de l’aléatoire ? Que nous n’achetons pas notre amour ?

 

Je suis donc j’existe !

Plus on fait ça, plus on s’enferme dans une représentation de soi-même qui nous éloigne -en apparence ou en réalité- en partie de qui on est. C’est parfait lorsqu’on ne souhaite pas se dévoiler, dans notre vie professionnelle le plus souvent. Mais qu’en est-il lorsque, dans un domaine souvent plus personnel et intime, on souhaite être reconnu pour ce que l’on est ? Qu’on ressent le désir légitime de ne pas se poser de questions quotidiennes sur l’intégrité de ceux qui nous entourent ? Qu’on ne souhaite pas être délaissé et se retrouver seul au moindre « changement de statut » ?

En bref, comment arriver à prendre suffisamment confiance en soi pour reconnaître ses valeurs, rayonner, attirer, et ne pas craindre l’abandon en cas de changement ? Car « qui je suis » va bien au-delà de mon métier. « Qui vous êtes » va bien au delà de votre richesse…

 

Savoir se recentrer et prendre confiance en soi

Le problème de ces fausses représentations de soi-même est qu’elles nous éloignent, aux yeux des autres mais parfois également de nous-mêmes, de qui on est intrinsèquement.

Mais quand on se retrouve « à nu », dans des phases très difficiles, on réalise que néanmoins, même si on n’a rien, on existe toujours. Et on peut parfois également croiser des personnes qui sont tellement caricaturales par l’amour d’elles-mêmes et leur auto-narcissisme, qu’elles nous font réaliser ce qu’on ne veut pas être.

Alors ce jour là on enlève en aparté le superficiel, et des choses émergent en nous.

On commence enfin à savoir reconnaître le véritable intérêt des gens qui nous entourent ; certains commencent à oser accomplir certaines choses qui leur tiennent à cœur ; on développe la confiance en soi et on prend du plaisir à oser s’affirmer. Certains attendent ce moment pour vraiment se réaliser ; pour assouvir certaines passions, même si ce n’est pas ce qui est le plus « reconnu », ou le plus « brillant ». Mieux vaut tard que jamais…

Il faut d’ailleurs parfois accepter de renoncer à la reconnaissance ou à l’approbation des autres (ou de certains autres), pour obtenir l’épanouissement personnel.

Et je peux vous assurer que ce n’est pas toujours facile. Mais que ça peut être nécessaire pour s’accomplir ; et non pour se contenter d’accomplir le désir des autres, et leurs projections d’eux-mêmes sur nous.

Ce qui ne signifie pas de ne pas écouter les conseils, de ne pas réfléchir, de ne pas suivre des idées. Mais cela signifie par contre oser s’exprimer, se revendiquer, exploiter pleinement son potentiel. Et avancer, mettre en place ses idées si elles nous semblant viables et cohérentes, en faire des réalisations concrètes pour atteindre ses objectifs de réussite et de vie.

 

C’est vous, le prix à gagner !

A Delphes, sur le fronton du temple d’Apollon, vous trouverez bien sûr le célèbre précepte « Connais-toi toi-même », que Socrate reprendra. Mais il y en a un autre, que tout le monde semble avoir oublié : « Rien de trop». Il y a 2500 ans, les Sages de la Grèce Antique nous invitaient à nous connaître et à ne pas « exister seulement via notre apparence ».  A prendre confiance en soi et conscience de ses valeurs. Car c’est de là que naît le véritable pouvoir de réussite et d’actions.

Il ne faut pas avoir peur du vertige, peur du vide si on fait cela. Car vous vous demandez ce qu’il restera si vous enlevez l’apparence ; vous pouvez vous dire qu’il ne restera rien. Que vous allez être méprisé, qu’on ne vous remarquera plus. Et pourtant, la vérité est à l’opposé. Car vous existerez enfin pour ce que vous êtes réellement. Ce que vous êtes réellement est infiniment plus grand, plus beau, plus profond que tout ce à quoi vous avez pu peut-être vous accrocher jusque là mais qui est un ensemble aléatoire et fragile. Ne comptez que sur vous-même.

 

Connaissance et reconnaissance

Partez du principe que votre simple présence est d’une grande valeur, et que vos atouts n’ont pas besoin d’être validées par les autres. Vous connaissez vos forces, vous avez le potentiel et le droit de vous réaliser pleinement. Rappelez-vous que vous avez également le droit de choisir. Choisir de ne plus vivre en achetant de l’affection ; de ne plus vous entourer d’amours intéressées pour vous faire aimer ; de ne plus donner afin d’être apprécié et entouré ; mais aussi de paraître ou de séduire pour attirer ; d’acheter de l’amour ou de l’affection si c’est ce que vous souhaitez à ce moment là. Vous êtes puissant. Et tant pis si les autres vous jalousent, vous envient, ou se détournent. Vous êtes solide et vous vous réalisez.

 

Stratégie gagnante

A partir de là, au moment où on cesse de se focaliser sur le regard des autres et sur l’action principale de se valoriser pour obtenir de la reconnaissance, on devient beaucoup plus disponible pour le reste. On récupère tous ces moments de préparation physique et/ou mentale, ces tergiversations aléatoires en fonction de l’opinion publique. On se recentre sur ses objectifs, on se perfectionne, on concentre notre énergie sur notre réussite. Et c’est là, vraiment, que les portes s’ouvrent comme par magie et que tout devient plus simple. Car les gens, enfin, nous reconnaissent et prennent conscience et acte de nos atouts, de notre puissance et de notre « valeur ajoutée ».

En parallèle, vous devenez ancré et en phase avec vous-même. Vous êtes bien plus fort, bien plus solaire, bien plus confiant. Et ça se ressent car vous êtes inévitablement charismatique. Vous attirez le positif, vous réussissez, et vous rencontrez les bonnes personnes. Vous (re)trouvez un équilibre, une satisfaction et une harmonie dans votre vie personnelle et professionnelle. Les clients viennent à vous, les contrats pleuvent, les amis sont fidèles ; et vous avez la sérénité sur le plan sentimental d’être aimé pour ce que vous êtes et non ce que vous donnez. Vous détenez enfin le réel pouvoir du rayonnement et de l’attractivité.

 

Confiance en soi et attraction : mise en pratique

Alors comment fait-on pour se libérer de ces fausses identités qui peuvent nous rassurer ? Pour passer du stade de la peur de ne pas être reconnu, de ne pas exister, à celui de la confiance en soi ? Vous n’êtes bien sûr pas obligés d’en passer par l’échec, l’autarcie, ni de régresser ou de vous laisser physiquement aller…

Vous pouvez rencontrer toutes sortes de personnes, vous faire aider, parler, voyager… Je l’ai fait moi-même, j‘ai fait tout un travail ; et aujourd’hui avec le recul, ce que j’en retire est qu’il n’y a pas un seul chemin vers la découverte de soi.

Cette confiance on la trouve quand on apprend à se considérer véritablement. Quand on apprend à aimer ce qu’on est, qu’on prend conscience de ses capacités exponentielles. Quand on reconnaît ses réussites, mêmes si elles peuvent parfois sembler infinitésimales. Quand on accepte également ses erreurs et ses faiblesses, et qu’on sait en tirer une force supplémentaire.

A ce moment là on n’a plus besoin de revêtir une image ou d’endosser un rôle pour être « quelqu’un ». On adopte une image par plaisir. Et on est enfin passé du besoin au désir. Des autres intéressés temporairement aux autres attirés et ancrés solidement. On est devenu « le prix à gagner ».

 

Echecs, réussites et attitudes positives

On trouve aussi une part de cette confiance quand on apprend à accepter l’échec.

En Occident, ce n’est pas dans notre culture. On a tendance à vouloir réussir tout et à tout prix. Mais quand on accepte ses failles, ses faiblesses, ses fragilités, ça nous aide petit à petit à avancer. L’échec permet d’expérimenter la vie, même s’il peut être violent.

La réussite quant à elle nous incite à nous identifier au succès ; elle est donc porteuse, stimulante et grisante. Mais elle peut aussi nous faire perdre une part de notre identité ; nous pouvons « perdre la tête et la raison », et nous retrouver seuls et isolés bien plus tard. La réussite peut aussi nous entraîner à être recherché, estimé et aimé… mais seulement le temps de notre réussite.

Enfin, la confiance en soi, en la vie et en ce que nous en faisons se trouve aussi dans un troisième domaine : la « positive attitude».

Dans notre pays, les gens ont plutôt tendance à râler contre les événements, à être déçus de ce qui ne va pas et à ne pas souligner ce qui a marché. Mais si vous prenez l’habitude de porter également votre attention sur ce qui arrive de positif (et il arrive forcément des choses bénéfiques chaque jour), sur les gens bénéfiques et porteurs qui vous entourent, malgré vos problèmes, vous allez stimuler votre cerveau à la dopamine. Et de là la recherche active du bien-être ; donc l’efficacité au service de votre réussite et de votre bonheur.

 

Conclusion

Une fois que la confiance en soi est optimisée, qu’un lâcher-prise a pu s’opérer, on devient beaucoup plus libre, puissant et serein.

Libre du regard des autres, libre d’agir en son âme et conscience. Libre de se réaliser. Libre d’avancer. Donc beaucoup plus fort et remarquable.

Le cercle des réussites s’enchaînant n’est pas une utopie : nous conditionnons nos pensées et nos actes à vaincre, surmonter et franchir -ou pas- les obstacles que nous rencontrons.

Tout est question de perspective, d’analyse et de choix… Pour ma part, je connais ma voie et je sais ce pour quoi j’ai opté.

A vous de définir et d’avancer dans la votre, en n’hésitant pas à vous faire aider concrètement, et à obtenir des stratégies personnalisées si vous souhaiter réussir plus vite.

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