Love & Life coaching

Coaching de couple

Redonnez vie à votre vie amoureuse

Un couple ? Oui, et après ?

Ensemble, par la mise en place d’actions concrètes et efficaces, nous allons faire de votre situation la concrétisation de VOS envies et de VOTRE bonheur !

En attendant, voici les grands principes d’un schéma gagnant…

Beaucoup se donnent comme objectif de rencontrer celui/celle avec qui « fonder un couple», ou encore partager des moments de vie en commun, et ce quelle que soit la façon dont le couple s’établit : vie à 2, vie « chacun chez soi », ensemble « pour le meilleur ou le pire », ensemble pour les bons moments, …

Si rencontrer et séduire l’âme sœur semble rester depuis la nuit des temps (et les écrits d’Ovide suffisent à s’en convaincre) un rêve universel et intemporel, il apparaît évident que le fait de réussir à maintenir durablement la relation établie soit également au centre des préoccupations.

En effet, quel intérêt de se battre, conquérir, rencontrer, échouer, persévérer, lutter, se renseigner, … si nous ne savons pas comment gérer ce que nous convoitons, obtenons, vivons, ou si nous nous lassons de façon récurrente ?

Ainsi, une fois « en couple », il apparaît nécessaire et salvateur de se rendre à l’évidence : rien n’est fait, et tout reste à faire ; en commençant par s’intéresser à soi-même !

En effet, quoi de plus inquiétant, épuisant, redoutable et destructeur que de ne s’intéresser qu’à son/sa partenaire, ne vivre que par lui et pour lui, et vouloir continuellement lui faire plaisir et le « rendre heureux » ? Car la réalité semble inéluctable : ce comportement naît d’une peur marquée -et parfois inconsciente- de l’abandon, d’un besoin d’exclusivité, et d’une nécessité de comblement de ses propres manques et brèches, tout en projetant ses attentes et espoirs sur son partenaire. On entre alors ici dans le monde fermé de la dépendance affective, dont il est difficile de sortir tant la zone de confort qu’elle procure semble irremplaçable.

Les dangers de la dépendance affective

Ainsi, sous une apparence de prime abord fusionnelle et inaltérable, le couple qui s’adonne à ce jeu de co-dépendance (car il faut être deux pour accepter ce type de relation) se nourrit de l’autre mais ne se développe pas. Chacun se nécrose au lieu de s’ouvrir, se limite à la place de s’épanouir.

Et c’est ainsi que vont inévitablement naître la frustration, le rejet, la sensation d’étouffement, voire la trahison lorsque l’un des deux comprendra qu’il est urgent de sortir de ce schéma pour enfin commencer à véritablement exister.

Alors, bien évidemment, toutes formes de pièges aident à fermer les yeux devant cet état de fait : la co-dépendance peut donner l’illusion de faire du bien et nourrir des manques .

Elle peut engendrer :

  • le déni : « co-dépendant, moi ? Certainement pas ! Nous sommes constamment sur la même longueur d’ondes, voilà tout ! »,
  • la sur-adaptation : « je suis co-dépendant et je reste dans ce schéma par crainte de sortir de ma zone de confort. Alors j’anticipe -parfois inconsciemment – chacun des désirs de l’autre pour inconsciemment le piéger et de le maintenir dans une bulle »,
  • la passivité : « je ne fais rien, je sais tout cela, et j’attends que quelqu’un vienne me délivrer de ce schéma (oui, je crois aux contes de fées, et alors ?) »,
  • la surenchère : « sans moi, il serait tellement malheureux et il déprimerait ! »,
  • l’agitation : « je me noie dans les activités pour oublier mes limitations et mes frustrations »,
  • la dépression et/ou le retournement des frustrations en colère contre soi-même (psychique, parfois physique), …

 

Quoi qu’il en soit, de ces relations de co-dépendance naîtront certainement un véritable mal être, et, à terme, une inévitable chute puisque le couple qui avance ainsi, s’appuyant l’un sur l’autre pour avancer et donc mal équilibré, ne peut nécessairement pas aller bien loin dans cette voie.

Au moment de démarrer une relation avec un partenaire, il faut donc déjà prendre le temps de la redémarrer avec soi-même, et d’être sûr que cette envie ne soit pas un besoin de combler ses propres manques. Seul doit demeurer le plaisir du partage, sans rien attendre de l’autre ni vouloir le remanier.

Un peu d’oxygène pour chacun et penser avant tout à respirer !

Si, après analyse objective, vous avez reconnu dans la co-dépendance votre propre schéma, il sera certainement favorable de travailler pour vous « décontaminer » de vos « fausses » croyances et attentes, et il pourra être judicieux de consulter un psychologue, ou une personne capable de vous aider à sortir de votre zone de confort, de vos attitudes, habitudes et certitudes.

Vous gagnerez ainsi du temps, car en vous recentrant sur vous-même et en arrêtant de vous focaliser sur l’autre, vous pourrez peu à peu alléger votre charge mentale, vous ouvrir au quotidien et repartir sans limites et contraintes prédéfinies, excepté celles de vos valeurs fondamentales.

Vous prendrez ainsi beaucoup moins de risques de perdre de temps et de l’énergie en vous lançant à corps perdu dans une nouvelle relation immanquablement destinée au malaise ou à l’échec. Et vous respecterez bien plus votre partenaire, puisque vous arrêterez de penser que tout dépend de lui, de ses croyances et comportements, et lui épargnerez la pression que vous mettez sur ses épaules tout en arrêtant de vouloir le transformer conformément à vos attentes.

Certes, sortir de ses croyances n’est pas forcément facile ni confortable. Mais vous vous apercevrez vite que cela est indispensable pour pouvoir lâcher prise, arrêter de se focaliser, redevenir ouvert aux possibles, aux expériences, aux éventualités, redéfinir ses propres croyances et valeurs, cerner ses attentes au sein d’une relation « favorisante », arrêter de vivre dans le futur fantasmé, commencer à profiter pleinement des plaisirs du présent, et, surtout, vivre enfin une relation épanouissante, harmonieuse et sereine, fondée sur le respect, le partage et l’échange.

Ici débute véritablement l’histoire d’un couple qui avance, l’un à côté de l’autre, respectueux de ses différences. J’aime utiliser l’image des oiseaux sur leur perchoir : le couple en bonne santé est celui qui vit des expériences, chacun de son côté, et se retrouve pour les partager, en discuter et en vivre ensemble, avant de s’envoler encore pour mieux venir se poser de nouveau sur le même fil un peu plus tard. Rien ne sert de s’étouffer : il faut garder en tête que le couple reste solide tant que chacun y est heureux et y trouve davantage de bonheur qu’ailleurs. Alors à chacun, s’il le souhaite, de mettre en place tous les comportements simples et indispensables à cet équilibre de vie. Et tout se joue dès maintenant !

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